Broutards Les voyants sont au vert pour les bons animaux
L’offre est insuffisante pour satisfaire l’ensemble de la demande que ce soit vers l’Italie, Israël, l’Allemagne, l’Espagne ou l’Algérie. Les niveaux de prix sont fermes sur l’ensemble des marchés.
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Le marché des bons broutards et des taurillons herbés est favorable. Le placement est plus régulier pour la marchandise plus commune, même si cela ne se ressent pas toujours sur les tarifs.
Les charolais et limousins de 350-400 kg, U de conformation, se négocient entre 2,85 et 3,00 € en broutards et entre 2,70 et 2,80 € en taurillons. La demande reste soutenue en taurillons lourds à destination du Maghreb, pour le Ramadan. Les plus de 550 kg se vendent entre de 2,44 et 2,52 €/kg vif.
Sur les marchés de l’Ouest, la tendance est également plus favorable, notamment dans la bonne marchandise vaccinée. À Cholet et à Châteaubriant, où 1 200 broutards ont été négociés, les bons charolais et limousins U de 250 à 300 kg et vaccinés se sont négociés de 810 à 880 € la pièce. Le commerce est plus régulier pour les animaux de second choix, même si les tarifs restent peu élevés.
La modification du zonage relatif à la FCO intervient peu de temps après la reprise des échanges vers la Turquie depuis la ZI. Les acheteurs ont beaucoup de mal a trouvé la marchandise qui leur convient, car il reste juste le Finistère et la moitié des Côtes-d’Armor en ZI.
Le manque de disponibilité en femelles raffermit l’activité commerciale pour les bonnes laitonnes herbées exportées sur l’Italie. Les charolaises de 12-18 mois, de 350-400 kg se sont négociées autour de 2,65 €/kg vif à Moulins-Engilbert. Les femelles communes et non vaccinées sont faiblement valorisées pour l’Espagne.
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